L.R.M. 1987, c. P230
Loi sur les officiers publics
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Table des matières
1 | Définition du terme "percepteur" | |
DÉCÈS DU SOUVERAIN | ||
2 | Continuité de l'emploi | |
(2) | Continuité des professions, emplois et métiers | |
3 | Non-nécessité d'une nouvelle prestation de serment | |
NOMINATION DES OFFICIERS PUBLICS : DISPOSITIONS GÉNÉRALES | ||
4 | Pouvoir général de nomination | |
5 | Incompatibilité entre certains emplois | |
PRESTATION DE SERMENT | ||
6 | Prestation du serment professionnel | |
7 | Serment écrit en double | |
8 | Serment professionnel et serment d'allégeance | |
9 | Serment d'allégeance | |
10 | Délais et peines | |
11 | Fonction du greffier du Conseil exécutif | |
SÛRETÉ | ||
12 | Sûreté garantissant l'exécution efficace des fonctions | |
13 | Forme et montant de la sûreté | |
14 | Entente avec une compagnie d'assurance à l'égard de la sûreté | |
15 | Entente au nom d'un organisme | |
16 | Portée des sûretés fournies par des officiers publics | |
17 | Dépôt de la sûreté | |
18 | Vices touchant la sûreté | |
19 | Portée de l'imperfection de la sûreté ou de son absence | |
20 | Déclaration relative au cautionnements professionnels | |
(2) | Contenu de la déclaration | |
PROTECTION DES PERSONNES | ||
EXERÇANT DES FONCTIONS PUBLIQUES | ||
21 | Limite des recours contre les officiers publics | |
(2) | Occasion de dédommager le plaignant | |
(3) | Protection des auxiliaires de justice | |
(4) | Inapplicabilité au registraire de district | |
22 | Ordonnance relative au cautionnement pour dépens |
Lorsqu'une action est intentée en raison d'un acte commis dans le cadre de l'exercice effectif ou censé tel d'une fonction, prévue par une règle de droit ou autrement, ou d'un pouvoir public ou encore en raison d'une prétendue négligence ou d'un prétendu manquement dans l'exercice de cette fonction ou de ce pouvoir, le tribunal peut, sur demande faite par le défendeur à tout moment après signification du bref ou de la déclaration du demandeur, ordonner un cautionnement pour dépens s'il lui est démontré que le demandeur ne possède pas suffisamment de biens pour payer les dépens de l'action s'il perd celle-ci et si, d'autre part, il est démontré au tribunal que le défendeur a, sur le fond, une bonne défense ou que les motifs de l'action sont insignifiants ou frivoles.